Un mardi soir, alors que je rentrais du restaurant, aux alentours de 23 heures, j'ai vu un chat assis devant la porte de notre boulangerie Kayser... comme s'il attendait l'ouverture.
J'ai eu beau lui dire que la boulangerie était fermée le mercredi et que ça ne servait à rien d'attendre, il n'a rien voulu entendre.
Quelques jours plus tard, alors que je prenais ma pause café avec K. dans la salle de détente à la BN, une petite souris est venue se joindre à nous. Enfin presque... elle s'est contentée des miettes laissées par d'autres à la table d'à côté.
La petite souris vous le confirmera : étudier, ça creuse.
Encore une ?
A propos de BN, les chaises archi-dures des salles de lecture ont eu raison de moi. Non contentes d'avoir anéanti le bas de mon dos, elles ont à présent attaqué le haut. Ainsi, depuis quelques jours, grâce au torticolis le plus coriace que j'aie jamais eu, je me meus avec la souplesse d'un Playmobil (surnom donné par mon poulet).
Si ça continue comme ça, j'ai bien peur que ce soit cette thèse qui m'achève, et non l'inverse...
Alors voilà, je n'ai rien d'autre à proposer qu'un cheesecake (ce que me réclame à corps et à cris mon poulet, définitivement converti au cheesecake)... mais aux zezettes !
Il s'agit toujours un cheesecake au citron (bah oui, rappelez-vous, je suis un peu psychorigide), seule la base biscuitée change : j'ai utilisé une quinzaine de zezettes de Sète (achetées ou maison) et 5 spéculoos (le truc, c'est de ne pas écraser les biscuits trop finement, voire de laisser des petits morceaux pour que ça reste croustillant après cuisson).
Oui, j'avoue : ce cheesecake, je l'ai fait juste parce que le nom m'amusait ;-)