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dimanche 28 octobre 2007

Un chat gourmet, une souris studieuse, une fille Playmobil et un cheesecake aux zezettes



Un mardi soir, alors que je rentrais du restaurant, aux alentours de 23 heures, j'ai vu un chat assis devant la porte de notre boulangerie Kayser... comme s'il attendait l'ouverture.
J'ai eu beau lui dire que la boulangerie était fermée le mercredi et que ça ne servait à rien d'attendre, il n'a rien voulu entendre.



Quelques jours plus tard, alors que je prenais ma pause café avec K. dans la salle de détente à la BN, une petite souris est venue se joindre à nous. Enfin presque... elle s'est contentée des miettes laissées par d'autres à la table d'à côté.
La petite souris vous le confirmera : étudier, ça creuse.



Encore une ?



A propos de BN, les chaises archi-dures des salles de lecture ont eu raison de moi. Non contentes d'avoir anéanti le bas de mon dos, elles ont à présent attaqué le haut. Ainsi, depuis quelques jours, grâce au torticolis le plus coriace que j'aie jamais eu, je me meus avec la souplesse d'un Playmobil (surnom donné par mon poulet).
Si ça continue comme ça, j'ai bien peur que ce soit cette thèse qui m'achève, et non l'inverse...

Alors voilà, je n'ai rien d'autre à proposer qu'un cheesecake (ce que me réclame à corps et à cris mon poulet, définitivement converti au cheesecake)... mais aux zezettes !



Il s'agit toujours un cheesecake au citron (bah oui, rappelez-vous, je suis un peu psychorigide), seule la base biscuitée change : j'ai utilisé une quinzaine de zezettes de Sète (achetées ou maison) et 5 spéculoos (le truc, c'est de ne pas écraser les biscuits trop finement, voire de laisser des petits morceaux pour que ça reste croustillant après cuisson).
Oui, j'avoue : ce cheesecake, je l'ai fait juste parce que le nom m'amusait ;-)

samedi 1 septembre 2007

Un samedi entre zezettes, orecchiette et pêches de vigne



Cet après-midi, à l'heure du goûter (j'étais chez moi, car je n'avais pas eu le courage de me traîner jusqu'à la BNF alors que c'était le dernier jour avant la fermeture annuelle de 2 semaines), je me suis brusquement souvenue qu'il me restait encore, dans une boîte en fer blanc, des biscuits rapportés de mes micro-vacances : amandiers, figounettes, citronniers, zezettes...
Je me suis dit que ça irait très bien avec une tasse de thé.

En sortant les biscuits de leur boîte, j'ai eu envie de les immortaliser (en fait, mon appareil photo numérique est devenu, depuis peu, comme un prolongement de mon corps, un appendice greffé à ma main, et tout est désormais prétexte à photos...).



Et puis, j'ai pensé que mes zezettes (= des biscuits originaires de Sète) méritaient bien quelques photos entre elles. Je les ai rassemblées dans un petit verre Duralex, installé un joli décor....



Et, toute à ma joie de laisser crépiter mon appareil, dans mon délire de photos en gros plan avec des arrière-plans méga flous (qui le font grave, bien que je n'y sois pour rien : l'appareil est réglé sur Mode Auto), j'avoue que n'ai pas tout de suite vu la chose, j'ai shooté sans relâche, jusqu'au moment où j'ai vu... ça :



HHHAAAAAAAAAAAAAAN ! QU'ALLAIT-ON PENSER DE MOI ???

Ni une ni deux, j'ai remis les zezettes dans leur boîte. C'est curieux, je n'avais plus trop envie de les photographier.

Pour passer totalement à autre chose, je décidai de faire des muffins, avec des pêches de vigne, les toutes premières que j'achetais...

Quelle ne fut pas ma surprise en les ouvrant...



HHHAAAAAAAAAAAAAAN ! (again !)
MAIS C'EST MAGNIFIQUE !

Je suis restée en admiration... que dis-je... en pâmoison devant tant de beauté.
Un grand moment d'émotion pour moi, qui n'avais jamais vu de pêche de vigne de ma vie (si ce n'est sous forme de sorbet François Théron - un parfum qui n'arrive d'ailleurs pas à la cheville de l'excellentissime chocolat extra-dry, de la framboise, ou de la mangue).

Quant aux muffins, malheureusement, ce ne fut pas une grande réussite malgré leur bel aspect.



Texture agréable, mais goût... comment dire.. étrange (il faut dire que j'avais utilisé des ingrédients inhabituels... et je crois que la cuisson ne sied pas à ces pêches... il faudra que je refasse des tests...). Mais bon, ça se laisse manger sans problème.

Pour rattraper le coup, je me suis essayée à des petites verrines (là aussi, une grande première) :



Mais rien de bien extraordinaire : du yaourt nature avec du sirop d'agave, des morceaux de pêche de vigne, et des miettes de zezettes (ça, c'était pour me venger, hé hé !).



Parfait pour un dessert léger léger, mais la prochaine fois, je me passerai des miettes de zezettes.

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Pour finir, nous nous sommes régalés midi et soir de cette surprenante et non moins délicieuse salade d'orecchiette, petits pois et crevettes au pesto de coriandre...



... dont la recette se trouve dans le livre Salades d'été de ma cop's et quasi-voisine (puisque 3 ou 4 arrêts de bus seulement nous séparent). Je ne saurais que trop vous en conseiller la lecture (au moins pour se croire un peu en été ;-)).

Sur ce, je retourne à mes travaux doctoraux (il faut que j'accélère le rythme, sans quoi je risque de me faire trucider par mon chef...).