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samedi 6 octobre 2012
vendredi 11 mars 2011
Quel Cirque !!!
Le Cirque, c'est la concentration
silencieuse ,
l'art de jouer sans dire un mot,
l'anti-théâtre,
la technique des sourds st muets
qui sont les plus grands acteurs
du monde,
tout ce qui est le contraire du cinéma.
C'est une grande, une épuisante école
à l'opposée de la comédie.
notre profession est faite
de vingt métiers à la fois.
ce sont ces vingt métiers qui font
une vedette.
CHARLIE CHAPLIN
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© Pierre Fatus « Ostéopathe de la bêtise, décathlonien de la vigilance, Fatus est un clown de la bonne veine, autant dire un clown grave et authentique qui, chose devenue rare, sait faire corps avec ses mots. Parti à la recherche de l’Homo ridiculus dont nous descendons tous, de clairières musicales en gesticulations chorégraphiques, Fatus visite pour nous le monde parsemé de faux-semblants. Emporté dans un parcours verbal jubilatoire, ce clown poétique et singulier a le geste large : pour conjurer la nuit mentale qui menace, il lui dresse des voies lactées à grandes poignées de neurones. » Stefan Lévy-Kuentz """""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""" |
© clothilde Grandguillot |
Clothilde Grandguillot est née à Alger en 1971. Elle est photographe et diplômée en ethnologie. En 1997 elle choisit Marseille pour port d'attache et le crique comme thème de recherche. Les cirques la guident alors au Maroc, en Mongolie, au Viet-nam, en Indonésie, en France et en Espagne. Ses travaux prennent la forme d'expositions (en France et à l'étranger) et de publications régulières.
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Une paillette d'or est un disque minuscule en métal doré, percé d'un trou.
Mince et légère. elle peut flotter sur l'eau. Il en reste quelquefois une ou deux accrochées dans les boucles d'un acrobate. Ainsi s'ouvre Le funambule. un des textes emblématiques de l'oeuvre de Jean Genet. dédié à sou ami Abdallah.Jean Genet (1910-1986) est l'auteur de romans, de pièces de théâtre et de poèmes. Notre-Dame-des-Fleurs, Journal du voleur, Les bonnes, L'atelier d'Alherto Giacometti sont quelques-unes de ses ouvres les plus célèbres.
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De Chagall à Léger, sur le fil d'une toile
Fernand Léger est un spectateur assidu du cirque Médrano...
Fernand Léger |
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La littérature se joue des mots et jongle avec des phrases
:
Des nouvelles où l'ordinaire prend la tangente sans quitter l'exploitation du quotidien.
Nous y sommes. Dans l'engrenage du temps salarié, oui, bien sûr, contraints de nous détendre et de nous concentrer aux moments qu'il convient. Coincés parfois dans des cercles fermés où ne comptent que les affaires, pas les affaires de coeur, les autres, les vraies. Et dans les zones incertaines où le jour menace la nuit, où la planète, si nous continuons, risque de ne plus tourner rond. C'est bien notre monde, d'accord, et ce talent appartient en propre à Eric Faye. Romans, comme les Cendres de mon avenir, ou nouvelles comme ici, il prend la tangente du conte fantastique sans quitter du regard les gisements d'angoisse de la vie quotidienne. Mais si Un clown s'est échappé du cirque, recueil de nobles rébellions pour cause de pannes, pour plagier un autre titre de sa bibliographie, requiert la plus grande attention, c'est que l'auteur nous convoque et nous retient, chaque fois, sur les lieux de son histoire.
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!Et Zavatta qui fait son cirque.................!............!...............!.................
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© florence delahaye |
600 pages et 70 compagnies ou artistes français et étrangers. Les auteurs s’attachent à donner une vision incarnée du cirque contemporain, composite et ouverte. Chaque compagnie fait l’objet d’un texte décrivant son univers, illustré par des images des créations, des coulisses, des portraits, des traces manuscrites (brouillons, esquisses…) et livre sa conception des arts du cirque en perpétuelle redéfinition.
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Danilo Kis (né à Voïvodine en 1935, mort à Paris en 1989) a tissé son œuvre d'une profonde réflexion sur les totalitarismes du XXe siècle tant communiste que fasciste.
Dans ces récits d'inspirations autobiographiques, ce styliste remarquable évoque l'oppression nazie et Les premiers chagrins du jeune narrateur dans un monde en voie de disparition. Kis est notamment l'auteur de Un tombeau pour Boris Davidovitch (Gallimard, 1979) et Homo poeticus (Fayard, 1993).
Dans ces récits d'inspirations autobiographiques, ce styliste remarquable évoque l'oppression nazie et Les premiers chagrins du jeune narrateur dans un monde en voie de disparition. Kis est notamment l'auteur de Un tombeau pour Boris Davidovitch (Gallimard, 1979) et Homo poeticus (Fayard, 1993).
Une trilogie autobiographique, Le Cirque de famille, rend compte à la fois de son histoire et de sa formation littéraire, comme Danilo Kis lui-même l'écrivait dans un bref avant-propos en 1973. De Chagrins précoces à Sablier, en passant par Jardin, cendre, il voit une esquisse successivement recouverte par des versions plus affirmées, plus sombres, aussi. Les derniers mots de Sablier sont peut-être la meilleure conclusion de cet ensemble: «Mieux vaut se trouver parmi les persécutés que parmi les persécuteurs.»
Après avoir liquidé, en quelque sorte, son propre passé, Danilo Kis s'est ensuite intéressé à celui des autres hommes.!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Vingt nouvelles très courtes, à la façon d'instantanés, campent l'univers de l'auteur : des silhouettes étranges et des monstres séduisants. Xavier Bazot dessine avec une naïveté feinte un monde énigmatique et poétique.
"Sa mère, un matin, tua son père d'un coup de carabine. Ensuite elle alla dans le jardin cueillir des poires, en chantonnant." Les vingt-cinq nouvelles qui composent ce recueil sont à l'image de la chute de Un Crime : étonnantes, légères et décalées. Nous sommes loin du style baroque du seul roman de Xavier Bazot -Tableau de la passion (P.O.L, 1990)- qui préfère ici une prose simple, humble presque naïve. La poésie de ces textes très courts vient de là, de cette voix (parfois précieuse) qui effeuille sans pathos un monde sans pesanteur : "Pierrot a été à la guerre. Il devait tuer les gens avec beaucoup de tendresse." (Dans les Marais).
Dans un des plus elliptiques récits (Trois de mes Amies), le narrateur écrit à propos d'une femme : "Elle se plia à ma présence comme on accepte un temps de saison." Les nouvelles de Xavier Bazot sont ainsi, comme un soleil de mai qui brille en automne, incongrues, on les accepte pour cette nostalgie qu'elles ensemencent.
Dans un des plus elliptiques récits (Trois de mes Amies), le narrateur écrit à propos d'une femme : "Elle se plia à ma présence comme on accepte un temps de saison." Les nouvelles de Xavier Bazot sont ainsi, comme un soleil de mai qui brille en automne, incongrues, on les accepte pour cette nostalgie qu'elles ensemencent.
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Michaela a abandonné son milieu pour devenir écuyère de cirque. Après avoir épousé son directeur, Hermann Kier, l'amazone est victime d'un accident qui lui fait perdre la raison. Contre l'avis des médecins, son mari la garde auprès de lui, enfermée dans une roulotte d'où elle ne sort que le soir pour présider « le souper de Son Altesse », La démente se croit en effet Princesse régnante d'un royaume imaginaire... Sa « cour » est formée des artistes du cirque : clowns, funambules, trapézistes, dompteurs. Un soir, une lueur de lucidité fait comprendre à Michaela qu'elle a été remplacée dans le cour de Hermann Kier par la Française Isabelle. Elle n'a plus qu'une idée : faire mourir sa rivale, mais ne réussit qu'à provoquer un nouvel accident au cours duquel Isabelle perd l'usage de ses jambes. Dès lors, l'action est menée entre ces trais personnages hallucinants : une démente, un dresseur de chevaux et une paralytique.
Guy des Cars fut également un grand amoureux des arts du cirque.
Rattachant ses œuvres à la catégorie du « roman de gare », ouvrage distrayant et superficiel, certains critiques littéraires l'avaient surnommé « Guy des Gares ».
Rattachant ses œuvres à la catégorie du « roman de gare », ouvrage distrayant et superficiel, certains critiques littéraires l'avaient surnommé « Guy des Gares ».
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Quelques belles gravures ou affiches, notamment de Barnum & Bailey, immense cirque de l'Oncle Sam !!
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Brooke Stevens est salué aux Etats-Unis comme le David Lynch de la littérature.
Après Tattoo Girl, Circus est son deuxième roman traduit aux Editions Autrement. :
Après Tattoo Girl, Circus est son deuxième roman traduit aux Editions Autrement. :
Roman haletant, Circus entretient la surprise aux confins du fantastique. Parabole foisonnante sur la dimension spirituelle du spectacle, directement inspirée par l'expérience de l'auteur, c'est aussi un hommage baroque aux pouvoirs surnaturels du cirque et à ces artistes qui, chaque soir, mettent en scène le jeu troublant de la vie et de la mort.
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Quelques ouvrages jeunesses, parmis des dizaines consacrés à l'univers du cirque !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
toiles et toiles
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toiles et toiles
- Le Cirque, 1928, Charlie Chaplin
- Sous le plus grand chapiteau du monde, Cecil B. DeMille, 1952
- Le plus grand cirque du monde, H. Hatahway, 1964
- Parade, J. Tati, 1974
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à bientôt pour un second numéros consacré au MONOCYCLE dans tous ses états !!!
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samedi 6 novembre 2010
"La Famille Morallès"
le chapiteau Morallès © bertrand desprez |
Archive Famille Moralles |
Impossible de résumer cette histoire de famille, il faut aller sur leur site et se laisser embarquer sous le grand chapiteau, la famille Morallès c'est la grande aventure du cirque, l'émotion des funambules, la folie des trapèzes volants, le ballet des monocycles, une musique envoûtante !
©Archive Famille Morallès |
Didier & Marius © bertrand desprez |
Tout d'abord Monique et Christian, les fondateurs, autodidactes, ils se lancent dans l'aventure circassienne, équilibriste sur chaise ou lanceur de couteau, ils font le ravissement du public au quatre coins de la France, des oeuvres laïques aux MJC.
© archive famille Morallès |
Puis les enfants naissent, Sylvie, Carole, Didier et Julien. Rapidement ils intègrent les spectacles.
Les années 80 sont plus difficiles et le cirque Morallès disparait pour mieux renaître en 1997.
C'est la "Grande Famille", découverte à Auxerre vers la fin de la tournée qui m'a accueilli avec chaleur et enthousiasme. Le cercle familial s'est élargit avec les conjoints, musiciens et circassiens venus d'horizon différents, Gino marié à Carole, Bernard à Sylvie et Hélène à Didier. Monique supervisant toute la troupe. Un coup d'oeil à chaque représentation pour dire les mots justes à chaque enfant ou petit-enfant. Voir monter le chapiteau est un spectacle à part entière, aidés d'une douzaine de paire de bras supplémentaires, les Moralles dirigent l'orchestre ! Les mats se dressent, les bâches se tendent et les gradins se montent en quelques heures, un exploit répété dans chaque ville.
Les caravanes entourent le chapiteau, une institutrice, Céline (blog) encadre les enfants, de la maternelle au collège !La récréation se déroule en joute sur monocycle...Augustin, Léon, Firmin, Marius, Gabrielle et Hubert complètent l'arbre généalogique.
Chaque soir, une représentation, quelques journée de repos puis démontage. En route pour une autre ville, une autre aventure.
C'est la "Grande Famille", découverte à Auxerre vers la fin de la tournée qui m'a accueilli avec chaleur et enthousiasme. Le cercle familial s'est élargit avec les conjoints, musiciens et circassiens venus d'horizon différents, Gino marié à Carole, Bernard à Sylvie et Hélène à Didier. Monique supervisant toute la troupe. Un coup d'oeil à chaque représentation pour dire les mots justes à chaque enfant ou petit-enfant. Voir monter le chapiteau est un spectacle à part entière, aidés d'une douzaine de paire de bras supplémentaires, les Moralles dirigent l'orchestre ! Les mats se dressent, les bâches se tendent et les gradins se montent en quelques heures, un exploit répété dans chaque ville.
Les caravanes entourent le chapiteau, une institutrice, Céline (blog) encadre les enfants, de la maternelle au collège !La récréation se déroule en joute sur monocycle...Augustin, Léon, Firmin, Marius, Gabrielle et Hubert complètent l'arbre généalogique.
Chaque soir, une représentation, quelques journée de repos puis démontage. En route pour une autre ville, une autre aventure.
Didier © bertrand desprez |
cirque Morallès |
Michto © bertrand desprez |
Michto, cirque Morallès © bertrand desprez |
cirque Morallès © bertrand desprez |
"POUR VIVRE HEUREUX, PRENONS LE PARTI D'EN RIRE !"
« Ce qui n’est pas donné est perdu », proverbe gitan auquel la famille Morallès s’identifie depuis toujours. Elle y puise son originalité, sa force, son pouvoir d’émerveillement.
Michto, Anaïs © bertrand desprez |
© bertrand desprez |
Michto © bertrand desprez |
le final © bertrand desprez |
© bertrand desprez |
Avec : Bastian Berrocal Mestre, Bernard Delaire, Sylvie Delaire, Carole Guibe, Claude Guibe, Gabrielle Guibe, Johanna Mazoyer, Augustin Mugica, Didier Mugica, Hélène Mugica, Léon Mugica, Anaïs Raphel | Mise En Scène : Serge Dangleterre | Scénographie : Kham-lhane Phu | Couturière : Mamie Monique | Technique : Laurent Brimant, Patrick Chaillou, Guy Moreau
hubert © bertrand desprez |
montage du chapiteau © bertrand desprez |
dressage de fauves © bertrand desprez |
le chapiteau © bertrand desprez |
Michto © bertrand desprez |
Michto © bertrand desprez |
Michto © bertrand desprez |
Michto © bertrand desprez |
michto © bertrand desprez |
La famille Moralles prépare en secret, une surprise pour le printemps 2011... à bientôt
Augustin © bertrand desprez |
Carole et Sylvie © bertrand desprez |
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