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mardi 5 août 2014

Juillet est passé

Le temps passe tellement vite. Déjà plus d'un mois s'est éc(r)oulé dépuis la dernière fois que j'ai ouvert ce blog.


Une grue très lourde a eu le temps de monter le chemin, enfonçant par la même occasion un bout de terrain chez nous. Son conducteur avait du mérite (à notre avis, il avait été envoyé au casse-pipe, car il n'y avait pas beaucoup de place pour manœuvrer, surtout en bas du chemin).




Elle est monté pour démonter le pylône de la ligne à haute tension qui passe non loin de la maison. Et son conducteur est reparti en marche arrière. Chapeau!






















Un orage de grêle s'est abattu sur la région, inondant des villes voisines, et abîmant notre chemin plus encore que la grue. Le chemin n'était qu'un ruisseau, que dis-je, une rivière, un fleuve. Le gravier s'est - comme d'habitude - trouvé en bas, sur la route.





Les ex-néo-zélandais sont venus pour une bonne semaine et nous avons tous fait la cuisine ensemble.




Surtout Maxime, d'ailleurs, qui préparait sa spécialité, le risotto au poulet cuit cuit cuit.








C'était fabuleux, je n'avais rien à faire pendant toute la semaine (sauf mon travail quotidien, bien entendu.) Pas de problème pour savoir quoi manger!




Les occupants d'un camping-car hollandais sont venus dîner. Autour de la table on parlait (dans l'ordre alphabétique):


anglais
cauchois
français
néerlandais
suédois


et tout le monde réussit à se comprendre.



Quelques promenades en voiture pour visiter le coin, une mini-croisière sur la Seine. 



Et surtout une amitié entre Maxime et les trois chats, notamment Foufou qui dès le premier soir montait se coucher à coté de son amie. 

Les parents de Maxime en ont d'ailleurs fait une série de photos: Foufou qui dort à gauche de Maxime, Foufou qui dort à droite de Maxime, Foufou qui dort aux pieds de Maxime, Foufou qui dort exactement dans la même position que Maxime...









En août voilà le calme revenu, se dit Nefertiti, en respirant l'odeur des flox tout en regrettant le départ de la bonne cuisinière qu'est Emilie.


vendredi 25 avril 2014

Repas et critique

Le temps est gris de nouveau. On n'a vraiment pas envie de se découvrir ne serait-ce que d'un fil, mais plutôt de rester bien au chaud.

Nous ne sommes pas allés dans ce qui est devenu notre "cantine" rouennaise samedi dernier, en fait, nous ne sommes même pas sortis ayant du monde à la maison le soir. 

Le dimanche midi nous étions invités. Coquilles St Jacques, poulet fermier (du vrai de vrai) et de très bons vins, allant du champagne au Sauternes en passant par un Gewurtztraminer et un bourgogne couleur rubis d'un âge vénérable. Le repas fut un délice, tout comme la mousse au chocolat maison d'une onctuosité à faire rêver.

Par contre, étant obligés de  nous rendre à Rouen le lundi de Pâques, nous avions le choix entre notre "cantine" et un restaurant à Duclair que DD aime bien. Cela faisait longtemps que nous y avions mis les pieds.

Hélas, il était fermé, et à la vitrine j'ai aperçu un panneau "changement de propriétaire". Dommage!

Nous avons donc poussé la porte d'une brasserie*) à Caudebec en Caux, un endroit où nous avions été invités il y a un an ou deux, et dont je gardais un souvenir correct.

En entrée DD a pris un os à moelle (8.10€) qui en réalité était un demi os long d'une petite dizaine de centimètres. Mon marbré de foie gras (9.40€) avait la taille d'une boite d'allumettes mais pas son épaisseur (plutôt l'épaisseur d'une allumette), et il était servi sur une miroir afin de paraître plus grand.

Les côtelettes d'agneau (Pâques oblige) étaient grasses, très grasses même, et accompagnées d'un peu, trop peu, de ratatouille d'aspect "boîte de conserve premier prix" (14.00€ par personne). Une personne à la table voisine avait préféré des frites comme accompagnement - je me demande s'il y en avait dix dans l'assiette!

Le nougat glacé "maison" (6.20€) était acceptable comme le sont en général les glaces, mais j'en aurais bien voulu un peu plus que deux fines tranches, car à, ce moment-là j'avais encore faim!

Une bouteille de vin (19.00) un peu trop acide, et deux tasses de café (1.75€ pièce) finirent par faire grimper l'addition à 80.40€, ce que je trouve inadmissible pour de la très petite quantité en qualité médiocre. La prochaine fois je m'arrêterai à notre "cantine". Là au moins je suis sûre de bien manger et de ne pas avoir faim à la fin du repas. En plus, l'addition reste beaucoup plus raisonnable, en général autour des 57.40€ pour deux, voir moins si nous prenons la formule à 14.50€ (entrée, plat et dessert).



*)Au fil du temps, Caudebec en Caux, brasserie à ne pas fréquenter si on aime bien manger.


samedi 11 janvier 2014

Fiskbullar

Aussi loin que ma mémoire me porte en arrière, je n'ai jamais été fan du plat que les suédois appellent "fiskbullar".

Les rares fois que j'y ai goûté, je l'ai trouvé plutôt fade, mais il est fort possible que la cause n'en soit pas le plat lui-même, mais la façon dont il avait été préparé.

C'est un peu comme avec le "lutfisk" que les nordiques mangent à Noël, et qui lui non plus ne figure sur ma liste des plats préférés. La dernière fois que j'en ai mangé, il tombait en morceaux sans goût, et le plat n'était sauvé que par la sauce qui l'accompagnait. Mais j'avoue, c'était sans aucun doute un problème lié à la personne qui l'avait préparé.

Revenons donc à nos fiskbullar.

J'ai deux vieux livres de recettes en suédois. Dans le premier que j'ai consulté, j'ai trouvé mes fiskbullar dans l'index, mais la page que j'avais à chercher se trouvait dans le tome II que je ne possède pas.

Heureusement le deuxième livre m'apportait plus de lumière.

Pour faire des fiskbullar pour quatre personne il faut

750 gr de poisson blanc (colin ou autre)
1 càs de beurre 
20-30 cl de lait froid préalablement bouilli
sel
sucre
poivre blanc
1/2 càs de fécule de pomme de terre
fumet de poisson, sel

Passer trois fois  le poisson au hachoir de viande (une fois vidé et débarrassé des arêtes, bien entendu). Le mélanger avec le beurre et les épices. Ajouter la fécule de pomme de terre et le lait, un peu à la fois, et à la fin, le sel et les épices. Former des boulettes et les faire cuire 10 minutes dans le fumet de poisson ou, à défaut, dans de l'eau légèrement salée.




J'ai fait tout cela, sauf que j'ai utilisé de la truite saumonée et que j'ai remplacé la fécule de pomme de terre par de la maïzena.   Il fallait faire avec ce que j'avais sous la main. 




Bref, ma préparation n'était pas vraiment orthodoxe, mais pourtant, si demain on m'interdit de faire un nouvel article sur mon blog, prétextant que j'ai aujourd'hui commis l'irréparable faute de parler de fiskbullar, à savoir des quenelles, je ne serais pas d'accord et j'appellerais cela de la censure préventive, chose qui ne doit pas exister dans un pays qui prétend qu'il n'est pas une dictature de l'esprit.

Dans ce cas personne ne saurait jamais, qu'aux fiskbullar je préfère un bon jambon et du fromage à raclette, accompagnés de petites pommes de terre, le tout arrosé d'un ruisseau en provenance de la vigne.


Voilà pourquoi je préfère vous le dire tout de suite!

mardi 26 novembre 2013

Harengs grillés

Quand nous sommes sortis en fin de journée samedi, je ne savais pas que nous allions tomber sur la fête du hareng en nous dirigeant vers le bord de mer.

Plus nous nous en approchions, plus nous nous en serions pourtant doutés si les vitres de la voiture n'avaient pas été fermées à cause du mauvais temps, car le hareng en train de griller sent assez fort.

Par conséquent, et pour pouvoir baisser la vitre le temps de faire une photo, nous sommes restés à distance de la fumée.




Nous n'étions d'ailleurs pas sortis dans le but d'aller dîner, mais juste pour nous changer les idées, et éventuellement faire une photo pour le blog. 

mardi 5 novembre 2013

Les châtaignes

La châtaigne ne fait pas partie de ma culture.

Jamais je n'ai attirée par les "Chauds les marrons" des vendeurs ambulants que j'ai pu entendre, tout en sentant l'odeur des châtaignes en train de griller. (Pourquoi dit-on marron, alors que les marrons ne se mangent pas?)

Non, la châtaigne ne m'a jamais passionnée.

Nous en avons pourtant ramassées déjà il y a quelques années, et j'en avais même utilisées lors de la préparation d'une volaille en sauce.

Le résultat, je m'en souviens, n'était pas mauvais, pourtant mes tentatives culinaires en étaient restées là.

Récemment nous avons ramassé un panier plein de belles châtaignes que j'ai commencé à trier, jetant celles qui pouvaient présenter des trous, et donc des vers - ou des asticots.

Il faut bien les trier, même après épluchage, car on ne voit pas toujours bien le trou. Y en a-t-il toujours, ou les vers naissent-ils dans les châtaignes, est une question que j'aurais pu me poser.

Et puis j'ai fait une soupe, moi qui ne suis pas très soupe non plus. Sauf peut-être, de temps en temps.

Une soupe à base de fruits et légumes d'automne, à savoir citrouille et châtaignes. Telle quelle elle n'avait pas beaucoup de goût, il a donc fallu ajouter autre chose pour l'aromatiser.







Il parait qu'on peut faire de la confiture avec des châtaignes aussi. J'essaierai peut-être un jour d'en faire un pot, pas deux.

samedi 2 novembre 2013

Les poids

Vous étiez loin du compte.

La patate, glanée par DD, n'existe plus. Nous l'avons mangée, DD et moi, mais pas en une seule fois, car elle pesait 900 grammes. 

La citrouille, quant à elle, est loin d'être la plus grosse vue cette année. Nos amis Philippe et Florence en ont qui sont beaucoup, beaucoup plus grandes.

4.600 kg quand même.

Par contre je n'ai pas pesé la châtaigne.

jeudi 31 octobre 2013

Poids lourd ou poids plume

La patate 
est-elle grosse 
ou la citrouille 
est-elle petite?

Toute mon estime 
sera accordée 
à celle ou celui 
qui me donnera 
le poids 
de l'une 
et de l'autre. 


mercredi 4 septembre 2013

Patate rouge

On peut difficilement être au four et au moulin et en même temps s'occuper de son jardin potager.

Voilà pourquoi DD a moins jardiné cet été que d'habitude.

Il a malgré tout planté quelques pieds de patates, en plus des oignons, des échalotes, des haricots, des poireaux, des citrouilles et j'en passe.

L'autre jour il a eu le temps de récolter quelques patates rouges, dont celle de la photo.

Je pense qu'elle va être légèrement difficile à éplucher.

Il vaut donc mieux la faire cuire pour une occasion où on voudra manger les patates avec leur peau.

lundi 2 septembre 2013

Les saladovores

Comme cela m'arrive trop souvent, dimanche je n'étais pas très inspirée pour faire à manger. J'ai donc fait un rôti de bœuf accompagné de tomates et de pommes de terre, et pour améliorer le tout, je suis allée cueillir une salade, une laitue dans le jardin.

J'ai mis la salade à tremper avant de commencer à en détacher les feuilles, en partant du cœur.

A un moment donné, j'ai du m'absenter pour répondre à un appel d'un chat, et à mon retour dans la cuisine, j'ai vu deux insectes émerger de la salade. J'avais failli les noyer.

J'ai pris une feuille de papier pour que les insectes grimpent dessus, et j'ai délicatement déposé les bestioles dehors, pour que le soleil les réchauffe et sèche leurs ailes.

Ensuite j'ai fini de nettoyer la salade.

J'ai failli ne pas voir une petite limace, couleur ver de terre, qui se cachait derrière une feuille, mais heureusement, juste avant de mettre la feuille à sécher, cette horrible chose est apparue devant mes yeux.

Sinon, on aurait peut-être eu notre ration de protéines. Pourquoi donc ai-je acheté un rôti de bœuf?

mercredi 21 août 2013

A la pêche

Boubouc, Lulu et Yéyé sont allés à la pêche avec d'autres amis. Ils ont passé - comme d'habitude - une bonne matinée ensemble, à taquiner la truite, non loin d'ici.

Comme la pêche était bonne, j'ai reçu un coup de fil peu avant midi, me disant "tu peux venir".

Et je suis allée, j'ai salué les pêcheurs, et je suis repartie avec huit belles truites que j'ai vidées et qui se trouvent maintenant dans mon congélateur - au moins celles qui n'ont pas encore été mangées.

***

(Les étangs collevillais)

mardi 20 août 2013

Bismillah

Jusqu'au weekend dernier je n'avais pas encore goûté à la figue de Barbarie, mais maintenant c'est chose faite, grâce à Ahmed qui en a donné trois à DD, ou plutôt grâce à Lala qui les a rapportées d'Algérie pour son mari.

Quel est leur goût? Difficile à dire, mais je pourrais peut-être les comparer aux groseilles à maquereau dont les plantes peuvent paraître presque aussi piquantes.

Ou, pourquoi pas, à des macro-groseilles en ce qui concerne leur taille...

En tout cas, elles sont délicieuses, une fois qu'on a réussi à les débarrasser de leurs minuscules épines invisibles mais tellement agressives. 

Choukrane Ahmed.


jeudi 15 août 2013

Haricots verts


Ça y est, nous avons récolté les premiers haricots verts de l'été.

DD a semé seulement deux petits  rangs cette année, mais il y en avait déjà plus qu'il ne fallait pour un repas pour deux.

Je n'ai pas tout cueilli, juste ce qu'il fallait, mais il faudra bien que je retourne au jardin très vite si je ne veux pas récolter des haricots géants dans quelques jours.















Il m'est déjà arrivé d'en congeler, mais je n'ai pas tellement envie de le faire cette fois-ci.

Par conséquent, il faudra manger des haricots verts à toutes les sauces et à tous les repas pendant quelque temps!

Même au petit déjeuner!!!


lundi 17 juin 2013

Y a du bon tabac...

Jusque récemment je n'avais pas été confrontée à la cigarette électronique, mais depuis quelque temps j'ai l'impression qu'elle me poursuit.

Ma première expérience - si j'ose dire - était lors d'un repas, où deux adeptes exhalaient allègrement de la fumée, pardon, de la vapeur, entre deux paroles vantant les mérites de cet engin.

Pas de goudron, peu de nicotine - il parait même qu'il y en a où il n'y en a pas - des goûts de toutes sortes, allant de la cigarette normale à la fraise. Moins cher que la cigarette, et ainsi de suite. Un sujet de conversation intarissable. Ou plutôt un monologue derrière un écran de vapeur.

Je m'étais déjà habituée - sans problème d'ailleurs - à ne voir aucun fumeur lors des repas, et il faut  avouer que j'ai trouvé que cet appendice qui, lorsqu'il n'était pas en service,  pendait au cou des invités était plutôt ridicule. 

Heureusement on ne sentait pas la fumée. Pardon, la vapeur. Mais par rapport à un repas sans fumée, ni vapeur, ce n'était pas mieux. Au contraire.

Quelques semaines plus tard, nous avions invité du monde, dont A qui n'a pas voulu entrer tout de suite, car il fallait qu'il grille une clope d'abord.

J'étais étonnée. A avait arrêté de fumer il y a cinq ans. Depuis il n'avait pas fumé une seule cigarette. Mais il parait qu'un jour, il n'y a pas bien longtemps,  il a voulu goûter à la cigarette électronique, et depuis ce jour, il fume de nouveau - des vraies blondes. Et pas qu'un peu. Lui-même l'avoue. Il n'aurait pas du essayer la version électronique.

La semaine dernière j'ai vu sur la page Facebook d'un très jeune ami, une photo de celui-ci exhalant de la vapeur d'une cigarette électronique, l'air content de lui.  Très fier.

C'était peut-être une cigarette à la fraise ou à la banane, sans nicotine, mais si la variante électronique est là entre autres pour remplacer le gestuel de la cigarette, je pense qu'elle peut aussi - surtout chez un jeune garçon - apprendre le gestuel, et inciter à fumer plus tard des vraies clopes en papier et goudron et poisons des fabricants et tout ce que vous voulez.

C'est décidé. Chez moi on ne fume que le cigare et plus particulièrement celui roulé entre les doigts du nouveau pâtissier de ma boulangerie préférée. Chez moi, ce sera la fête des pères tous les jours.

jeudi 28 février 2013

Moelleux

Ce matin je serais bien restée dans le moelleux de mon lit sur son matelas ferme quand mon portable a émis un son très désagréable afin de me réveiller. Je l'étais d'ailleurs déjà (réveillée), n'attendant que la sonnerie pour pouvoir l'étouffer au plus vite! Ai-je des tendances meurtrières la matin?

Et je me suis levée, car j'ai des choses à faire aujourd'hui. Comme d'habitude. Ou presque.

Le temps parait gris sous la nuit qui s'apprête à se retirer. Le thermomètre à la fenêtre affiche +2°. Des véhicules, feux allumés, montent est descendent la cote d'en face. Tout parait calme. Je vois pourtant aussi des gyrophares descendre.

Le moelleux au chocolat, dont il ne reste plus aucune trace, a été dégustée au MIN de Rouen, au Carreau des Halles, un samedi début février. J'aime bien aller dans cette brasserie de temps en temps. Pas aujourd'hui pourtant.

mercredi 9 janvier 2013

Cuisine portugaise

Récemment nous avons mangé portugais.


L'entrée, des beignets de morue et de gambas, plus du chorizo sur un petit lit de salade, était parfaite pour me mettre en appétit. Un peu petite, me dis-je, mais c'était avant que je ne vois le plat principal.





La cataplana, nommée comme le plat dans lequel elle est préparée, était plus que copieuse. J'ai quand même presque tout mangé, ne laissant à la fin que trois pommes de terre sur cinq.


C'est, parait-il,  un plat typique de la région d'Algarve, et en outre, c'est simplement bon. J'essaierais bien d'en faire une, un de ces jours, bien que je n'aie pas de cataplana pour sa préparation.

Mais tant pis, je n'ai pas de poêle à paella, non plus, et pourtant il m'arrive d'en faire, pas plus tard que lundi soir, d'ailleurs.

Alors, j'y mettrai de l'ail et de l'oignon, des poivrons et des tomates, une feuille de laurier, du sel (juste un peu) et du piment, des lardons et du chorizo, plus des moules et des coques, quelques grosses crevettes et du poisson à chair ferme. Sans oublier le vin blanc. A moins que j'en fasse une au poulet ou au porc, pourquoi pas?




Un dessert très léger, que de l'air ou presque, pour terminer. J'ai bien mangé. Le personnel était sympathique; il s'est même trouvé quelqu'un pour nous prendre en photo, sans qu'on le demande...




Alors quoi dire d'autre? Le prix? Dans les 50 euros par personne, café et vin  compris, en tout cas en ce qui concerne notre choix.

(Arcade Portugaise, Rue Edith Cavell, Ste Adresse)

mercredi 19 décembre 2012

Frère Jacques

Dormez-vous?

***

C'est l'époque des coquilles St Jacques. Quelles sont vos meilleures recettes?


Christophe Lerouge, chef au restaurant gastronomique, Au Goût du Jour, à Dieppe, vous les propose ainsi.

(C'est un délice.)


















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Ensimäinen joulukortti saapui eilen. Kiitos SusuPetal!



Il y a aussi eu celle de Maxime & Cie. Merci beaucoup!




Tack skall ni ha, Margaretha och Torkel! God Jul till Nagu.




Tack också Linnéa och Esko - jag  hoppas ni får ett fint år 2013!


mardi 11 décembre 2012

Couscous

Dimanche j'ai fait un couscous à ma façon. Oignon, ail et échalote. Navets et carottes. Cèleri branche et fenouil. Poivrons rouge et jaune. Même un peu de choux blanc puisqu'il m'en restait. Concentré de tomates. Piment doux, cannelle et ras-el-hanout. Sel et poivre. Et pois chiches. Sans oublier la courgette.

Servi avec des aiguillettes de poulet c'était bon. J'en referai. Il faut juste que je me dégote un peu de coriandre.


samedi 27 octobre 2012

Résumé de la journée

Ce matin le réveil sonnait à 5h, heure DD, à savoir au moins un quart d'heure avant l'heure. Je n'ai pas pu vérifier l'heure qu'il était, la pendule électrique à coté du lit étant en mode clignotant suite à une ou plusieurs coupures de courant nocturnes, ce qui n'était pas étonnant, vue la tempête de vent et de pluie qui avait quelque peu perturbé mon sommeil.


Nous avions rendez-vous à 8 heures pétantes avec le pneumologue de la voiture, dont il fallait changer les quatre poumons*). Nous sommes arrivés un quart d'heure avant le pneumologue.

(*) Il n'y a que les véhicules qui roulent sur leurs poumons.)







Il faisait déjà jour quand le travail était fini, et que nous avons continué notre route. Nous avions déjà dépassé la ville de Rouen, et nous allions encore plus vers l'est.







Des syndicalistes se faisaient filmer par des reporters professionnels devant un magasin jaune et bleu. Nous avons accepté la feuille de revendications qu'on nous tendait, avant que je ne les prenne en photo, ce qui avait l'air de bien leur plaire.

La neige était tombée plus tôt dans la matinée. Nous en avions déjà vue sur la route entre Fécamp et Rouen, et vers midi il y en avait encore sur certaines voitures.








Pour midi nous étions invités à la Table Gourmande, rue des Bonnetiers à Rouen, en compagnie de Gigitte et de Boubouc.









En sortant du restaurant nous tombons sur Madame H, toute étonnée de nous voir à Rouen. Nous avons échangé quelques mots entre les gouttes des averses, avant qu'elle ne pénètre dans la cathédrale, et moi après elle. Les autres ont fini par me suivre, chassés par des grosses gouttes d'eau très froides.

Avant de quitter Rouen, nous passons devant le CHU où DD a fait une brève visite en début du mois, sans toutefois y avoir été emmené en hélicoptère, comme cela était le cas du patient qui se trouvait dans celui que nous avons vu atterrir sur le toit de ce même hôpital.






Monsieur Corneille, debout devant les Théâtre des Arts, ne se plaignait ni de la pluie, ni de la neige, ni du froid de canard à la rouennaise. 

Il est resté stoïquement en place, pendant que nous raccompagnions Gigitte et Boubouc chez eux, en passant d'abord à l'Orfèvrerie Christofle à Yainville où j'avais une commande à récupérer - et ce n'est que depuis quelques minutes que nous sommes rentrés de notre escapade. 

Bien sûr, je ne vous dis pas tout ce que nous avons fait - peut-être y aura-t-il d'autres photos plus tard, peut-être pas... mais maintenant je vais me reposer, et j'espère que personne n'aura la mauvaise idée de mettre le réveil à sonner trop tôt demain matin, car de toute façon, les chats s'occuperont de nous faire lever.

lundi 8 octobre 2012

La rue du Rouge Ruisseau

C'était un jour en septembre, c'était même, je crois, le jour de l'automne, bien que le temps fut plus ensoleillé que gris. Ne nous en plaignons pas. Quelques jours plus tard c'était la tempête; éclairs, tonnerre, pluie et rafales de vent de plus de 100 km/heure. Même le Pont de Normandie était fermée à la circulation. Mais c'était plus tard, et ce n'est pas la peine d'y penser aujourd'hui.

Quelques blogueurs s'étaient donné rendez-vous rue Eau de Robec à Rouen ce jour de l'automne.

Sur la photo offerte par mon photographe attitré, à savoir DD, on peut apercevoir de gauche à droite et de dos, une inconnue, Claude qui cache Delphinium, Peter et moi-même en conversation, et Cergie en train de manipuler son APN. Et aussi quelques autres inconnus qui profitaient du beau temps à la terrasse d'un resto.




C'était précisément dans ce resto, le P'tit Bec, où j'ai mitraillé les retardataires, à savoir Patrick ou Monsieur Cergie ainsi que son épouse, assis entre Delphinium sur leur droite et Peter sur leur gauche. Bien sûr, vue qu'ils étaient dans un bouchon sur la route, ils ne sont pas sur la photo.

Ensuite nous avons mangé. Tout le monde a opté pour un œuf cocotte en entrée et un gratin en plat. Ce sont les spécialités du resto en question. Les plats étaient bien copieux, et seuls DD et moi avons pu finir le gratin. On reconnait les goinfres!




J'avais choisi le mien au saumon fumé et aux légumes - probablement un peu plus léger que ceux aux pommes de terre.

Ensuite dessert, café et promenade dans les rues de Rouen. Une visite beaucoup trop courte.

***

Pendant le repas Peter, en bon suédois qu'il est,  a soulevé la question du bec, à savoir d'où vient le nom Robec. Comme il le pensait, et comme je l'ai confirmé, la partie bec vient du scandinave (bäck en suédois) pour ruisseau. En Normandie nombreux sont les lieux qui portent le bec dans leur nom. (Bolbec, Bec Hellouin, Bec de Mortagne, Caudebec, Orbec...).

La partie ro viendrait également du vieux scandinave. Ro  pour rouge. L'eau du ruisseau devait être rouge par la terre qu'elle charriait. A moins, bien entendu, que les vikings tuaient tellement d'indigènes que le sang qui coulait finissait dans le bec... tout est possible.

Et pour clore le bec à tout le monde, sachez que le Robec qui coule n'est pas le vrai Robec, qui lui est souterrain. Notre Robec superficiel n'est plus qu'un canal artificiel!